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Attention à l’hygiène lors de la mise en place de piercing! De nombreuses
maladies peuvent être transmises par des instruments mal aseptisés.
L’acteur James Dean en jean, icône d’une génération.
Look génération
s
Le jean est associé au T-shirt
Maillot de corps réglementaire de l’US Navy, il ac-
cède au statut de vêtement de dessus aux États-Unis
à partir des années 20. Puis il débarque en Europe en
1943 et devient véritablement célèbre en 1951 grâce
à Marlon Brando dans le film
Un tramway nommé
désir
. James Dean le fait accéder ensuite au rang de
symbole de toute une jeunesse. Les techniques de
transfert d’impression permettent l’affichage d’ins-
criptions à caractère publicitaire ou de messages plus
ou moins personnels exprimant tour à tour humour,
violence, appartenance politique, culturelle, etc. Le
T-shirt va ensuite être associé au rock’n’roll et aux
mouvements des jeunes dans le monde, mais il sym-
bolise avant tout la décontraction et le confort.
Tendances des ados français
Les filles ont des budgets plus importants que les
garçons pour s’habiller. Elles aiment les marques
un peu chères comme Diesel pour leurs jeans, mais
c’est chez Zara qu’elles préfèrent faire leurs courses
et créer leur propre look. Les garçons eux aussi
cultivent leur style; ils se servent chez Die-
sel mais c’est la marque Kaporal qui a leur
préférence pour les jeans, les chemises et
les sous-vêtements colorés.
Les tatoos
Les tatoos mènent la danse de la mode.
Décorer son corps de motifs devient une
sorte de distinction, pour une heure, une
journée, un mois, toujours… Inventé par
les Égyptiens en 2000 avant J.-C., le
tatouage est un dessin à partir de
l’introduction de pigments sous la
peau. Il a des significations diffé-
rentes suivant les régions du monde.
Marquage infamant pour les pri-
sonniers occidentaux, rappel du rang
social chez les marins, etc. Véritables
ornements, en Chine ou au Japon, ils
restent cachés sous les vêtements mais symbolisent
l’appartenance au clan de la yakuza (puissante orga-
nisation criminelle japonaise).
En Inde et au Tibet, les tatouages accompagnent les
périodes-clés de la vie: maternité, maladie ou deuil.
En Thaïlande, ce sont des talismans. En Polynésie,
ils recouvrent une large partie du corps, voire du vi-
sage, et sont conçus comme une forme de langage
vestimentaire, racontant la position sociale et les ré-
cits de vie des individus.
Les piercings
Cette mode fait tourner bien des têtes et fait parler
bien des gens. Les tabous n’ont pas encore disparu
et les préjugés ne cesseront pas de si tôt. Comme le
tatouage, avant d’être une mode, le piercing a des
origines tribales. Les bijoux corporels ont été utili-
sés dans de nombreuses sociétés traditionnelles de
manière rituelle, pour affirmer l’appartenance à une
caste ou autre. Par exemple, les grands prêtres az-
tèques se perçaient la langue pour mieux communi-
quer avec les dieux.
La mode piercing d’aujourd’hui est lancée par le
mouvement musical provocateur de la fin des
années 70, les punks. Les adeptes arboraient
alors des
épingles
à nourrice enfilées dans la
bouche, les arcades sourcilières, etc.
Comme le tatouage, le piercing n’est pas
anodin, une cicatrisation complète d’un
piercing au nombril ne se fait pas avant 6 ou
9 mois!
Dégoter:
trovare
.
En brodant:
ricamando
.
Épingles:
spille
.
Fripes:
vestiti usati
.
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